Calé sur un groove qui cogne le premier temps, infiltré par l’afrobeat de Lagos et connecté à la rudesse du Delta, c’est dans une fonderie électrique que NY.KO usine son garage funk. Assurées par l’hélicon, les basses grognent et ronflent, accompagnant sax baryton sous effets et guitares griffantes que seul le chant rugueusement soul de Nyko lui-même peut dompter !
Quand NY.KO investit la scène c’est pour la transformer en enfer rythmique, en étau funky où les amplis sont régulièrement poussés dans la zone de surchauffe.